On suppose les trois moteurs "indépendants", ils ont chacun leurs paramètres (électriques et mécaniques) mais fonctionnent selon les mêmes équations.
Dans le régime stationnaire, on supposait la vitesse des moteurs constante au cours du temps (égale respectivement à $v_1$, $v_2$ et $v_3$). Désormais, cette vitesse $\omega_1, \omega_2, \omega_3$ peut varier au cours du temps, en particulier, on suppose qu'elle est nulle initialement, puis qu'on applique une tension au moteur. Les équations de la dynamique dans le cadre stationnaire sont ainsi conservées, et seule la vitesse $v_i$ est remplacée par $\omega_i$.
Dans le régime stationnaire, on supposait la vitesse des moteurs constante au cours du temps (égale respectivement à $v_1$, $v_2$ et $v_3$). Désormais, cette vitesse $\omega_1, \omega_2, \omega_3$ peut varier au cours du temps, en particulier, on suppose qu'elle est nulle initialement, puis qu'on applique une tension au moteur. Les équations de la dynamique dans le cadre stationnaire sont ainsi conservées, et seule la vitesse $v_i$ est remplacée par $\omega_i$, donc l'angle à l'instant $t$ n'est plus $v_1*t$ mais $\int_0^t v_1(x)dx$ (condition initiale nulle).
Remarque: Si on applique une tension constante $U$, la vitesse de rotation en sortie tend vers $U*A$. On peut déduire de cette dernière égalité la valeur de la tension à appliquer au moteur pour obtenir la vitesse de rotation désirée.